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⡇

Un jour, trois enfants sont allés dans les champs. Ils sont allés glaner aux champs. Les trois enfants ramassaient les épis de blé dans les champs. Mais ils se sont perdus. Ils ont marché et marché. La nuit est tombée. Les trois enfants étaient perdus.

Soudain, ils ont vu une maison avec de la lumière alors ils ont frappé à la porte. Un gros homme a ouvert la porte. C’était un boucher.

Les trois enfants ont demandé au boucher :
– Boucher, est-ce qu’on peut entrer dans ta maison. Nous avons faim et nous avons froid. Boucher, s’il te plaît, voudrais-tu nous loger ?
Le boucher a dit :
– Entrez, entrez petits enfants ! Je vais vous donner à souper.

Mais en fait, le boucher a tué les trois enfants. Il les a coupés en petits morceaux et il les a stockés et salés comme de la viande ! Cet homme était un boucher cruel.

Sept ans ont passé. Un jour, un autre homme a frappé à la porte de la maison du boucher. C’était un homme bon qui s’appelait Nicolas. Nicolas a demandé au boucher :
– Boucher, est-ce que je peux entrer dans ta maison. J’ai faim et j’ai froid. Boucher, s’il te plaît, voudrais-tu me loger ?
Le boucher a ouvert la porte et Nicolas est entré pour souper.

Le boucher a demandé à Nicolas :
– Voulez-vous un morceau de jambon ?
Nicolas a répondu :
– Je n’en veux pas, il n’est pas bon.
Alors le boucher a demandé :
– Voulez-vous un morceau de veau ?
Nicolas a répondu :
– Je n’en veux pas, il n’est pas beau.

Nicolas a dit :
– Je veux la viande salée que tu as stockée il y a sept ans.
Le boucher a eu très peur. Il est parti en courant. Nicolas a crié :
– Boucher, Boucher, ne t’enfuis pas ! Si tu demandes pardon, Dieu te pardonnera !
Mais le boucher était effrayé et il est parti.

Saint Nicolas a cherché les trois enfants. Il a dit une prière :
– Petits enfants qui dormez là, je suis le grand Saint Nicolas.
Il a levé trois doigts de sa main et les enfants se sont levés. Ils sont ressuscités.

Le premier enfant a dit :
– J’ai bien dormi !
Le deuxième enfant a dit :
– Moi aussi !
Et le troisième enfant a dit :
– J’étais au paradis.

C’était un miracle !

~ FIN ~